Dans les vases hispaniques de l’époque tartessienne, Vénus était représentée par une étoile aux formes variées
du plus élémentaire (lame et astérisque) au plus complexe (moulinet et rosace). El firmamento en un cuenco de cerámica.
Viaje a las ideas calcolíticas sobre la bóveda celeste.
José Luis ESCACENA CARRASCO
Croix et étoile de Vénus
Autre hypothèse de lecture du disque de Nebra comme représentation de la voûte céleste.
Les déesses mères et déesses féminines ont marqué plusieurs millénaires de leurs empreintes, elles changent de noms au cours de ses longues périodes, mais certains de leurs symboles persistent au delà du temps et des fonctions.
Il y a eu avait une multitude de déesses qui dérivaient les unes des autres.
Beaucoup descendaient de la déesse Isthar sous différents noms et attributs, elle même reprend les codes symboliques des déesses antérieures remontant au VI et VIIeme millénaires.
En effet, Isthar avait de nombreux symboles et attributs comme la conque, l’étoile à 8 branches, le croissant et
la pleine lune, l'étoile, le lion, le cerf, la vache qui allaite, etc.
Le serpent, l'oiseau, les fauves ou loups et d'autres plus tardifs cerf, poisson, lièvre, coquille, ...
L'étoile en fait est le symbole de l'étoile (planète) vénus et du ciel nocturne au sens large, c'est ce qui lui permet d'égaler le soleil et la lune sur certaines représentation.
Le serpent est le symbole du monde souterain, des sources, des cours d'eau et de la fertilité venue de la terre.
La vache et ou le taurreau aussi sont symbole de fertilité et dans le cas du mon bégo l'arraire renforce ce sens.
L'oiseau est le symbole du ciel diurne et des cycles annnuels du temps.
Les fauves sont le symbole du monde sauvage et des forets.
Le cerf est le symbole de la reproduction, de la créarion des ancêtres de l'homme et des dieux, il sera supplenté par le cheval.
Dabs certaines gravures le cerf s'accouple avec la déesse pour engendrer les dioscures ces dieux jumeaux ancètres des rois.
La déesse est la terre, l'eau et le ciel, créatrice de toute vie sur terre.
Elle est à l'origine des âmes, mais aussi des cycles de vie et de mort.
Le lievre est symbole de fertilité, le poisson aussi.
La coquille qui apparait dans l'antiquité symbolise dans les panthéons antique la naissance des vénus dans la mer.
L'étoile et la croix peuvent se substituer à la déesse elle-même et la représenter dans certains usages comme sur et dans les fonds des vases funéraires par exemple.
Vénus apparait au coucher du soleil le soir (étoile du soir) et disparait le matin (étoile du matin) quand le soleil lui réapparait.
Les légendes leur attribue le transport du soleil dans sa course nocturne, dans la barque ou le chariot solaire.
Le soleil dans la culture celtique d'Irlande et de Grande Bretagne est supposé avoir été féminin, et plusieurs déesses ont été proposées comme possiblement de caractère solaire.
Dans la culture celtique continentale, les dieux du soleil, comme Belenos , Grannos et Lug , étaient masculins.
En irlandais , le nom du soleil, Grian , est féminin. On suppose généralement que la figure connue sous le nom d'Áine était synonyme d'elle, ou de sa sœur, assumant le rôle de Summer Sun alors que Grian était le soleil d'hiver. De même, Étaín a parfois été considéré comme un autre theonym associé au Soleil; si tel est le cas, alors l'Epona pan-celtique pourrait aussi avoir été à l'origine de nature solaire.
Dans la mythologie germanique, le soleil est une femme et la lune est un homme. Le vieux nom anglais correspondant est Siȝel[ˈSijel] , poursuivant le proto-germanique * Sôwilô ou * Saewelô. La déesse du soleil de la vieille haute allemande est Sunna. Dans les traditions nordiques, Sól chevauchait tous les jours dans le ciel sur son char, tirée par deux chevaux nommés Arvak et Alsvid. Sól s'appelait également Sunna et Frau Sunne.
Plusieurs autres cultures ont des déesses du soleil comme les Lituaniens ( Saulė ) et les Lettons (Saule), les Finlandais ( Päivätär , Beiwe ) et les Hongrois apparentés.
Sto cercando questo articolo:"Cupules" e segni cruciformi in relazione con la leggenda della Madonna nella Liguria Orientale
Autores: R. Formentini, localización: Rivista di studi liguri, ISSN 0035-6603, Nº. 17, 1951, págs. 32-37.
Chez les égytiens nous avons aussi l'image de la déesse mère, même si c'est moins visible du fait d'un panthéon plus complexe et avec des composantes mâles très marquées.
C'est Hathor, qui représente la Mère universelle, c'est-à-dire la Terre en tant que maternelle. Dans les légendes égyptiennes Hathor est tantôt la fille, tantôt la mère du dieu solaire.
Dans d'autres contrées ce sera Ishtar ou Astarté, qui la représente ce sont presque les mêmes lettres.
Plus tard ce sera Isis qui se répendra jusqu'en Europe. L'écrivain romain Apulée qualifiait Isis de « mère des étoiles, parente des saisons et maîtresse du monde entier. »
Le sistre sera un des symboles de ces déesses.
Même la Bible recèle le souvenir de ces temps de paix sous l’égide de la déesse Mère. Le prophète biblique raconte comment il vint à Pathros en Egypte après la destruction de Jérusalem par Nabuchodonosor.
Il y rencontra un groupe de réfugiés israélites en colère. Ceux-ci reprochaient au prophète sa loyauté envers celui qu’eux-mêmes regardaient comme un dieu mâle usurpateur du ciel, Jéhovah, auquel ils attribuaient tous leurs malheurs.
Jérémie interpelle les Judéens résidant en Égypte parce qu’ils rendent hommage à Astarté, la reine du Ciel, alors que Yahvé a interdit de rendre un culte à d’autres dieux que Lui. Défiant le saint homme, ces gens lui annoncèrent qu’ils allaient retourner aux coutumes de jadis et brûler l’encens devant la Reine du Ciel, lui adresser des offrandes et des libations :
« Ce que tu as dit au nom du seigneur, nous ne l’acceptons pas. De toute façon nous allons remplir nos promesses de brûler de l’encens à la Reine du
Ciel et de lui verser des libations, comme nous le faisions, nous et nos pères, nos rois et nos chefs dans les villes de Juda et de Jérusalem. Nous avions
alors du pain à satiété, nous étions dans l’abondance et nous ne savions pas ce que c’était que le malheur. Or depuis que nous avons cessé d’offrir
l’encens à la Reine du Ciel et de lui verser des libations, tout nous manque, et nous périssons par le glaive et la famine. »
Jérémie, 44, 16 à 18.
Déesse Asherah, Israel.
Stèle anthropomorphe datée de la période entre l'Âge du cuivre et l'Âge du bronze ancien sur le Rocher des Doms, Avignon France.
Le incisioni rupestri di Pramollo Italie.
Double-enceinte augmentée; elle se situe à côte d’une triple-enceinte augmentée elle-aussi. Photo Hervé Paitier. Larchant France.
Roue à rayons et croix, Didyme, temple d’Apollon. Lettres latines entre les rayons et croix sur 3 cotés.
Mosaic.
Grèce – vase canthare grec à Attique, -780 BC.
Ad petendam pluviam. El petroglifo de Los Aulagares como respuesta
religiosa al evento climático 4.2 ka cal. BP, Espagne, José Luis Escacena Carrasco.
Masons’ Diagrams des symboles gravés du toit du temple de Kurna en Egypte, qui a été complété par Séthi I (1366-1333 av. J.-C.).
Certains des dessins, ont été en partie coupés par les maçons quand ils ont assemblé les dalles sur place.
Cuenco de cerámica procedente del santuario fenicio de Astarté, en El Carambolo (Camas, Sevilla). Representación del planeta Venus como agrupación de puntos.
FIGURINES FÉMININES DE Gebel el-Zeit,(ÉGYPTE).
Fragmento obra Rosa Mascarell. Mulier Amicta. Beato de Silos S.X. Temple al huevo sobre tabla.
Questa tavoletta o sigillo, risalente al 3° millennio a.C., Akkad, è possibile vederla ed ammirarla al Museo di Stato di Berlino.
Ereshkigal, sorella di Inanna e regina del mondo sotterraneo.
Dilbat, -1700 BC - Symbols for ever Communication through Carpatian Bassin, Emilia Pasztor.
Phalerae from Galiche Bulgaria, époque romaine.
Période Halaf, 5600-5200 BC. De Tell Arpachiyah, Mésopotamie du Nord, Gouvernorat de Ninawa, Iraq. (The British Museum, Londres).
Linke Hälfte der Bilderwand in Kienbachklamm IV, Autriche.
Cheggia di vaso sul quale è stata incisa una ruota solare, tempio neolitico di Ħaġar Qim.
Museo Nazionale di Archeologia di La Valletta Malta, (ca. 3200-2500 a.C.).
Reperto del Vallone del Ru - La Pietra del Sindaco, Balme (TO) Italie, superficie A.
Cinturone a losanga da Tirano (VI-V sec. a.C.)(da POGGIANI KELLER 1989).
Rilievo della stele funeraria di Idice (San Lazzaro di Savena, BO, VII sec. a C.) da MALNATI 2004).
Tête d'épingles en bronze de l'âge du bronze.
Gravure sur roche de Oschiri dans la province d'Oblia-Tempio en Sardaigne.
Symboles du soleil, de la lune et de vénus, (objets mésopotamiens) musée du Louvre.
Babylonian limestone kudurru depicting a turtle, which was a symbol of Enki; 1125BC-1100 BCE Symboles du soleil, de la lune et de vénus, British Museum.
Dowth - Beltaine Sunrise - Boyne Valley, Ireland, remarquer quelques cruciformes.
Val di Bisenzio, Italie.
Sculptures de pierre dans le cairn du complexe mégalithique de Loughcrew.
No. 127. Fragment of a Lyre of Bone, Nos. 128, 129. Lower and Upper Ends of a Flute, Micene.
No. 246. A Plate of Gold, Sepulchre III, Micene.
No. 281. The splendid Crown of Gold found on the head of one of the three persons interred in the Third Sepulchre, Micene.
No. 285. A Cross in Gold Plate. Sepulchre III, Micene.
Whose design is the ‘six-petaled flower-star’ so familiar to all students of folk art, Mycenae.
The golden urn from Mjövik (Nättraby) Suède.
The Rosette in British and Irish Rock Art M. A. M. van Hoek.
Wild Goat vase from East Greece. About 580 BC.
Menelaos and Hector fighting over the body of Euphorbos. Plate, Middle Wild Goat style, made in Rhodes ca. 600 BC. From Kameiros. Photographer/Source Jastrow (2006).
Monaie Æ Triens, 240/220 BC tombe Etrusque, Italie.
Pièce de monnaie Greco-Romaine -300 ans av J.C et qui provient de la ville d'Ouranoupoli en Macédoine (Nord de la Grèce).
The top of a Folkton drum, the British Museum CC BY NC SA 4.0.
Yorkshire in northern England in 2015, [Credit: Trustees of the British Museum].
Un plongeon au coeur des oiseaux de l’âge du Bronze - Manon Vallée.
Plaques de ceinture en bronze. — Bologne, Benacci I (Moutelius) - La roue à oiseaux, villanovienne.
Goddess Reita.
Goddess on platform, from an early Greek pithos found in a tomb at Knossos, Crète.
ÍDOLOS DE LA EDAD DEL COBRE DEL YACIMIENTO DE LAS ANGOSTURAS (GOR, GRANADA), Espagne.
Disco di lamina d’oro da Redù; B. Disco da Gualdo Tadino; C. Disco da Rocavecchia; Italie (rielaborati da G. Merlatti).
Inscriptions présentent sur des moules (Z. Puyfoulhoux),
Valve postérieure de Vénus anadyomène, Type II, signé PRISCUS (MAB / J. Mondière).
Figurines en terre cuite découvertes à Villeneuve-sur-Allier (A. Maillier, Bibracte).
Planche de dessins représentant les Vénus à gaine découvertes dans le dolmen IIIa du Petit-Mont à Arzon parmi 400 models. J. Le Cornec, 1994.
Venus à gaine Rextugenos.
Venus protectrice à gaine, Musée départemental breton, Quimper, inv.895.1.
Femme assise dans un fauteuil, Musée de Metz, inv.3119.
An Analysis of the Iconographic Rosette Motif as a Means of Non-Verbal Communication: A Case Study –The Rosette Motif and its Association with Solar Symbolism By Cheryl Hart.
Lead cross-shaped figurines. Late Neolithic period, 4400 to 3000 BC. Kanellopoulos Museum at Athens.
Déesse sur son bateau astral (à droite). Identification avec la planète Vénus à travers le
placement des rosettes avec leurs rayons pétales et le groupe de points associé correspondant.
C'est la même composition de quelques joyaux mycéniens (en haut à gauche) et de cananéens
(en bas à gauche). Les pièces de l'orfèvre montrent que cette image plus ou moins canonique
de la planète Vénus était déjà fixée au deuxième millénaire avant notre ère.
The cuneiform sign dalhamun4 = AN+NAGA×4 as it appears in a copy of the "An=Anum" lexical list of divine names (tablet BM K.4349). Original photo © Trustees of the British Museum, released under the CC By-NC-SA 4.0 license..
Tableau des symboles des astres et du temps dans la culture Balte, le classement est une interprétation postérieure.
Selon Gimbutas, Gods and Goddesses, p. 89, les civilisations néolithiques avaient inventé un ensemble de signes
graphiques pour exprimer des idées abstraites qui se rangeraient en deux catégories : les symboles en rapport avec l'eau ou la pluie, le serpent et l'oiseau : lignes parallèles, zigzags, chevrons, méandres et spirales ; les symboles en rapport avec la lune, la rotation des saisons, la naissance et la croissance, la perpétuation de la vie : croix, croissant, cornes, oeuf.
Pendentif étoile à huit branches en or (repoussé). Plaque en or (pendentif) représentant la déesse cananéenne 'Astarte' (repoussé).
Roue divisée en 8 avec des points.
Vase Grec ancien avec motifs en rapport avec la déesse mère.
Gravures rupestres au Rec del Bosc dans l'Héraut, France.
Levantamento do painel principal da rocha 4 realizado pelo Departamento de Cultura, Turismo e Património Histórico-Cultural da Câmara Municipal da Maia, antes da sua destruição, Espagne.
Extrait de l'article de François Beaux "Les triples enceintes du massif de Fontainebleau", Larchant France.
Bétyle de Kermania 125-25 av. J.-C., on y voit l'association d'une svastikas et du carré à double croix.
Detalle de los grabados de Los Aulagares (Zalamea la Real). Fuente: M. Amo, 1974 Espagne.
Inscribed stone from Maughold, Iles dissance e Man, Grande Bretagne.
Rosetas sur ce vase sont réunis plusieurs simboles de la déesse mère : l'oiseau, le lievre, le loup le poisson et la rose.
La diosa madre sedente mediterránea - Ana Llorach Asunción. Escena de pinturas rojas de un lekythos del Museo Británico del V siècle BC que representa a Hera amamantado a Hércules, de la leche derramada de su pecho brotó la vía láctea.
Koré avec grenade , vers 540-530 av. J.-C. Marbre. Athènes, Musée archéologique national.
Athéna soumet Encelad -525 BC Musée du Louvre, France.
La Diosa Madre sobre una vasija. La Alcudia, Elche (Foto Catálogo El Mundo Ibérico una nueva imagen en los albores del año 2000).
Decoración figurada sobre un vaso ilicitano, según S. Nordstrom.
Le roi Melishipak II de Babylone (1186–1172) présentant sa fille à la déesse Nanaya, détail d'un kudurru retrouvé à Suse.
Symboles astraux trouvés sur de nombreuses stèles babyloniennes.
Vénus était considérée par les peuples de Mésopotamie, comme symbole de la déesse Ishtar, qui
avec Sin (symbolisé par la Lune) et Samas (ou Shamash, le Soleil), représentaient la triade
divine des Assyriens-Babyloniens.
Symboles gravés de la lune, du soleil et de vénus, on the Valiulis boulder, in Molétais district Lithuania.
Oinochoe cu spirale și coarne de berbec, 750-480 î. Hr., Cipru.
Cratère béotien (Heidelberg G 44) 8ème siècle avant JC.
Etruscan Sub-Geometric pottery group.
Arpachiyah North Iraq -5000 BC.
Umzeichnung des Radkreuzes, Bildstelle Kienbachklamm IV zum Eingang der Jägerhöhle hinzieht (Kienbachklamm IV B), Autriche.
Ozieri, grotta di San Michele ai Cappuccini: pisside decorata nel fondo da un motivo a stella (scheda 197), Sardegnia.
Cabras, insediamento preistorico di Cuccuru is Arrius: vaso con figure umane schematiche, Sardegnia.
Ormaig, Argyllshire, Écosse (cl. Leyman Demon).
Masso coppellato lungo il sentiero Monscenù-ungiasca, Italie.
Cleveland Museum of Art, Acc # 1993.1 Greek-style Geometric painting.
CYPRIOT WHITE PAINTED WARE THREE-HANDLED DISH IRON AGE, CIRCA 1050-850 B.C..
Rouelles massives du Bronze Final. 1. Scarceta (Poggiani-Keller, 1995), 2. Poggio la Pozza
(Fugazzola Delpino , 1992, échelle non précisée), 3. Hauterive-Champréveyres (Rychner-Faraggi. 1993).
Rouelles massives du Bronze Moyen/Récent 4-6, Terramare de Montale (MO). Museo Civico Archeologico Etnologico di Modena.
Aegina treasure-minoan 1850-1550 B.C.
Este, Museo Nazionale Atestino - Lamina dal Tiro a Segno (da FOGOLARI, PROSDOCIMI 1988, p. 16, fig. 208).
Las Ruedas, Padilla de Duero (Valladolid, España), segunda fase de la Edad del Hierro, en siglo IV adC, Museo Arqueológico de Valladolid.
Stemmed plate East Greek from Camirus Rhodes, ca. 625-600BC.
Gold pendant with manypointed stars, probably used as an amulet. It was found, by Schliemann, at Mycenae, and it is to be dated at ca. 1550 B.C..
Disco-corazza dalla Marsica e di Massa d’Albe, Italie.
Gold and silver objects dating back about 3,600 years from the Canaanite period? Tel Gezer excavation center, Israel.
Pulpo pintado sobre un vaso de la necrópolis de Pitané (Eólida). Imagen tomada de Siret 19941.
Decoration on Octopus Style stirrup jar from Kalymnos (after Crouwel 1972).
Rasoio lunato tipo Populonia con manichetto fornito di appendici ornitomorfe. Da BIANCO PERONI 1979.
Symbolisation de la face de la déesse gravée, colline de Cordes France.
Symbole d'une croix diagonale.
Principaux rochers de Saint-Aubin-de-Baubigné.
Khirokitia : construction S.140, le dernier sol du niveau C (Mission archéologique française de Khirokitia), Chypre.
Sanctuary models of Popudnia, Cucuteni.
Cucuteni.
Signes scriptographiques qui subsistent sur le territoire de la Géorgie.
Signes scriptographiques qui subsistent sur le territoire de la Géorgie.
Signes scriptographiques qui subsistent sur le territoire de la Géorgie.
Calco de las dos figuras grabadas en del interior del dolmen de Casota do Paramo, Boio (según López Cuevillas y Bouza 1928).
Siedlung von Ghidici – Balta Ţarova (com. Piscu Vechi, jud. Dolj).
Ostrovu Mare - Bivolării (com.bGogoşu, jud. Mehedinţi), Nekropole.
Interprétation symbolique et interprétation religieuse en archéologie. L’exemple du taureau à Çatal Höyük - Alain Testart.
Vase grec ancien d'environ 500 BC.
Péliké à figures rouges, Grande Grèce, IVe siècle avant J.-C.
Suède, boucle en bronze moulé (recto et verso illustrés), travail des métaux avancés chez les chasseurs-cueilleurs qui y vivaient il y a plus de 2 000 ans. S. NYGREN, © NORRBOTTENS MUSEUM, CARINA BENNERHAG ET AL / ANTIQUITY 2021.
Pompeii c. 1st century CE, 610 gr. It depicts a two-headed snake with glass eyes holding a medallion of the goddess Diana.
Lenkovcy culture Precucuteni ll-lll/Tripolye A. Apud ZBENOVICI 1989.
Lenkovcy culture Precucuteni.
Les symboles sur les statuettes de déesses mères et vénus
de nos jour le symbole pour : le féminin ; la planète Vénus (la déesse aussi) et le cuivre en alchimie.
Le mot grec Kypris (Vénus) est à l’origine du mot « Chypre », mais aussi du
mot « Cuivre », qui était tiré des mines de Chypre. Ce métal était donc littéralement le « métal de Vénus ».
symbole de la terre.
Idole cloche. Photo (C) RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Hervé Lewandowski.
Déesse mère Tell Arpachiyah.
Amphore funéraire béotienne 700 av. J-C.
Déesse mère culture Machang, Chine 2300-2000 av JC.
Caractère chinois sorcière, Chine 2300-2000 av JC.
Dans l'article "Sorcière" dans les documents historiques des dynasties pré-Qin et Han, une revue relativement complète des modèles du mot "Sorcière" après les inscriptions sur os d'oracle a été réalisée (dans "Continued Examination of Chinese Alchemy", Oriental Publishing Maison, édition 2001). Il convient également de noter que les quatre personnages de "sorcière" sur ce pot en poterie sont écrits au-dessus des membres d'une figure étrange, et cette figure étrange avec une zone pubienne exagérée et saillante implique clairement une sorcellerie reproductive, ce qui signifie que cela devrait être l'image d'une grande « sorcière », et l'intention qu'elle exprime devraient être de la sorcellerie reproductive. Compte tenu de cette forme particulière de vérification mutuelle entre icônes et symboles, ils ont finalement déterminé que ce symbole était le premier caractère chinois « sorcellerie », avançant ainsi l'âge du mot « sorcellerie » de 1 000 ans.
Afin de trouver plus de preuves matérielles, Wang Zhian a mené un grand nombre d'enquêtes au sein du Gansu et a finalement trouvé un deuxième pot de ce type à Linxia, Il y avait plus de personnages de « sorcières », qui étaient en fait les mêmes que le. premier pot découvert. L'emplacement est à peu près le même. Le mot « sorcière » sur les deux pots peints n’est pas seulement un symbole textuel isolé, il est étroitement intégré au contenu de l’image. L'image sur la photo est celle d'une grande sorcière qui communique avec le ciel et la terre. Cette « sorcière » est l'incarnation du dieu grenouille vénéré par l'ancien peuple Qiang qui peut résister aux inondations, surmonter les catastrophes, communiquer avec le ciel et la terre, attirer. bénédictions et possède de fortes capacités de reproduction. Par conséquent, bien que le mot « sorcière » existe seul, il apparaît avec les peintures sur poterie exprimant la sorcellerie. Nous ne pouvons pas le considérer comme un symbole avec une signification inconnue, mais comme un caractère chinois « sorcière » avec une signification claire. Un sorcier, une grande sorcière, dans les temps anciens, était considéré comme une personne capable de parler et de communiquer avec le ciel et les dieux. C'était un esprit humain ou animal qui absorbait la spiritualité de certains animaux sacrés de la nature et possédait un pouvoir surnaturel. Le mot « sorcière » a également une signification. La première couche de signification représente les activités des sorcières, rapportant les mérites et les bénédictions aux dieux et aux fantômes, et transmettant les bénédictions des fantômes et des dieux. Il plaçait l'espoir des ancêtres de l'époque de vivre et de travailler dans la paix et le contentement, d'éviter les catastrophes et d'être en bonne santé et heureux.
Déesse mère culture Machang, Chine 2300-2000 av JC.
Statuette en terre blanche, Vénus à gaine du style REXTVGENOS, second siècle avant J-C. Jean Jacques Hatt, Mythes et Dieux de la Gaule, Tome II.
Divinité dite « Vénus » de Fégréac (Loire-Atlantique), vue de face où une triple enceinte sans croix est visible; vue de dos, deuxieme siècle, France.
Statuette en terre blanche, Vénus à gaine - Jean-Jacques hatt Mythes et dieux de la Gaule, tome II P408.
Arthémis sur vase Grec 570 BC.
Entre la route de l'Isle en Dodon & le village d'Agassac en Comminge, sur le chemin qui va de cette route au village, au lieu dit de la Pierre Blanche, au pied d'une croix de bois, était conservée une stèle de marbre blanc de Saint-Béat (maintenant en mairie), connue sous le nom d'éra peyro blanco.
Ortheia, carved ivory pin from Sparta.
Discoid terracota figurines, Tarxien cemetery Malta -1500 BC. - photo D. Cilia.
Cet exemple illustre assez bien le rapport entre déesses et cruciforme.
Discoid terracota figurines, Malta -1500 BC..
Hydrie E 702 du Louvre. Cliché: DAI Rome, Neg. 54.524.
Bol orné, Vounous Chypre ancien IIb.
Ossimo 4. Le prime due fasi di incisione del soggetto femminile.
Il s'agit d'une stèle féminine plusieurs fois surchargée, remarqué les deux bijoux d'oreilles supperposés cruciformes et multicercles.
High-necked pitcher showing females in front
of a vertical loom. Archaeological Museum of Eretria C 41
(ht 37.5 cm). After Huber 2003.
Obelisco de Caliza de Cartago Diosa Tanit.
Statuette en pierre calcaire de la déesse Auxerre de type DaedalicLe châle est crétois. Vers 630 avant JC. Hauteur 62 cm. (Louvre 3098).
4. Reconstruction of the female costume based on figurines of the Vučedol culture (after Durman 1988: 29);
5. Flat figurine with detachable head of the Vučedol culture from Vinkovci–Hotel (after Durman 1988: Cat. no. 33);
6. Human statuette with head from Ljubljanske barje (after Durman 1988: Cat. no. 36).
Stele Manfredonia, Museo Nazionale Garganico inv. 945-949 (dis. L. Di Blasi). Iconografie greche nel mondo indigeno della Daunia tra VII e VI secolo a.C, Italie
Museo Arch. Manfredonia, stele 615, Italie
Exemples de motifs couvrant les avant-bras de personnages féminins de stèles dauniennes Italie
Idole de Garla Mare Roumanie, -1600 à -1200 BC.
Déesse mère région de Kapitan Andreevo Bulgarie, 5200-4600 avant JC.
Déesse mère région de Kapitan Andreevo Svilengrad National Archaeological Museum, Sofia, Bulgaria, 5500-5000 avant JC.
Déesse mère région de Kapitan Andreevo Svilengrad Bulgarie, 5200-4600 avant JC.
Liubcova after S. A. Luca.
Statuette in Form einer weiblichen Figur aus dem Pfahlbau Partovski kanal bei Ig unweit von Laibach/Ljubljana. – Ton;
M. 1:3. – Nach Velušček 2016a (Foto) bzw. Korošec/Korošec 1969 (Zeichnung).
Ritualgefäß in Form einer menschlichen Figur aus dem Pfahlbau Partovski kanal bei Ig unweit von Laibach/Ljubljana. – Ton; M. 1:3. – A u. B nach Velušček 2007; C Foto: Narodni muzej Slovenije/Tomaž Lanko.
Décoration surmontant une cruche à eau (hydrie), retrouvée en 1851 dans une tombe près de la forêt de Tannholz, Hameau de la comm. de Meikirch BE, Suisse, de la période de Hallstatt
(Musée d'Histoire de Berne ; photographie A.& G. Zimmermann, Genève).
Stèles gravées de l’allée couverte du Luffang (Crac’h), France, Musée de Carnac.
Painted clay figure of a goddess from Shrine VI A.61., Catal Huyuk, Turkey.
Donjem Vrbnu, Bosnie-Herzégovine.
Petroglifo del Sasso del Regio.
La culture de Jiroft, Iran.
Tribus illyriennes.
4. Reconstruction of the female costume based on figurines of the Vučedol culture (after Durman
1988: 29); 5. Flat figurine with detachable head of the Vučedol culture from Vinkovci–Hotel (after
Durman 1988: Cat. no. 33); 6. Human statuette with head from Ljubljanske barje (after Durman
11988: Cat. no. 36).
Estela con decoración antropomórfica de Torr
ejón del Rubio II (Cáceres), Espagne.
Atargatis déesse syrienne.
Terracotta Figure India - Pakistan Idol Fertility Figure, 2000 BC.
Figurine Oxus © E. Antonova.
River Kyafar, Karachay-Cherkessia.
GREEK TERRACOTTA FEMALE FIGURE ARCHAIC PERIOD, CIRCA LATE 7TH CENTURY B.C..
Grande Déesse (terre/mère) gardienne des mystères de la fécondité, de la fertilité, de la vie, de la chance, de l'abondance, de l'âme et de la mort.
maitresse du temps, des cycles, de la chance, de l'abondance, des faunes : du monde souterrain (serpent), de la terre (cerf/loup), des eaux (poisson), du feux (salamandre/dragon), et du ciel (oiseau).
L'usage de ces idoles à Chypre : "Si les figures de terre cuite retrouvées à Erimi
provenaient des sites habités, les idoles de steatite proviennent souvent
de tombes, comme en témoigne le matériel fouillé des tombes de
Vathyrkakas-Souskiou où a été aussi trouvé un collier avec pendentifs.
Les pendentifs faisaient partie des possessions du mort ou de la morte et
comme tels ils étaient enterrés avec lui. On remarquera que la figurine de
Yalia porte au cou une idole non perforée qui était simplement maintenue
par un cordon passant sous la tête du pendentif. Peut-être les petites
idoles non perforées pouvaient-elles aussi servir de pendentifs."
"La forme même de la croix devait avoir un sens ainsi que
dans toute la symbolique chalcolithique des cultures de la vieille Europe
et du Proche Orient. On se souviendra aussi que parmi les hiéroglyphes
égyptiens, la croix signifie "vie" ou "vivant" et entre dans la composition
de mots signifiant "santé" et "bonheur"".
"L'association du taureau ou bucrane avec le symbole de la croix représentant le principe
féminin ou maternel dans les représentations néolithiques évoque l'union
de la Grande Mère et du taureau en une sorte de hieros gamos. Le culte
du taureau est un culte rendu à la puissance créatrice et fécondante de la nature.
De même que le taureau, le cerf ou bouquetin devait être un des animaux-parèdres de la Grande Mère"
Wilbeth est une déesse de la lune. Elle est la Mère-Lune, la Maîtresse de la Vie et, ainsi, son attribut Wil-wheel symbolise le disque, la roue qui représente d'une
part les 4 saisons, d'autre part aussi le renouvellement éternel de la Vie. (extrait de http://racines.traditions.free.fr/)
Fouilles sur l'emplacement de Troie figurine n°233.
Fouilles sur l'emplacement de Troie vase n°1396.
Fouilles sur l'emplacement de Troie vase n°986.
Anthropomorphic Female Neolithic ceramic figurine,
Cucuteni-Trypillia culture Wikipedia.
Anthropomorphic Female Neolithic ceramic figurine,
KRUTA, 1992, p. 142, fig. 107.
Idol funerar din perioada 1500-1200 î. Hr., Muzeul Național de Istorie, București, România.
Vénus à gaine gallo-romaine IIème siecle.
Vénus à gaine gallo-romaine de Rezé, France.
Statuette en terre blanche, Vénus à gaine du style REXTVGENOS, second siècle avant J-C.
Complexe mégalithique du Petit-Mont à Arzon (Morbihan), France.
Vénus à gaine gallo-romaine de Villeneuve-sur-Allier, France.
Némésis ailée, figurée sur un relief du Pirée, a la roue et au serpent, Grèce.
Mosaïque d'Ellès, Tunisie - Picard Gilbert Charles, Le couronnement de Vénus.
Artemis as Potnia Theron, Parian pottery, 675-600 BC.
Kourotrophic terracotta from Aidonia, Greece.
Calque et photo de la stèle de Soalar. Photo R. de Balbín Behrmann (d’après Bueno Ramirez et al., 2005b), Espagne.
Goddess of Wisdom, the arts and war, patron of the city of Athens 500 BC.
Idole-cloche, de Béotie, région de la Grèce centrale, réalisée à la fin de l'art géométrique (750-690 av. J-C.).
Stèle dauniennes de type 5b : MNGM n° 1207-1395 = Nava 1980, n° 949, Italie
Stèle dauniennes with ornamentation, 699-700 (SD 585), Italie
Boeotian Idoles.
Près de l'église d'Asige à Halland Suède, grands menhir, stèle B.
Une stèle du temple dit de Ninhursag Assur - Jean-Claude Margueron.
La Moraleja, Capilla, Badajoz, Espagne.
Statuette made of blue limestone representing a goddess seated upon a spotted leopard, Catal Huyuk, Turkey, (Catal Huyuk, 1967).
Yarim Tepe II, Turquie, after Hansen 2007.
Idol from Phrygian altar Midas City, Turkey.
Plaque cérémoniale représentant Cybele sur son char avec Nike et le dieu du soleil Helios, au début du 3 ème siècle avant JC, Aï Khanum, Afghanistan, argent dorée ; Musée national de l'Afghanistan, Kaboul, Wikimedia Commons.
Les principaux Blocs-Statues du Monument des Veaux, France.
Marquages corporels sur les statuettes et les vases anthropomorphes, Durankulak, CARPATO DANUBIEN, (Henriete Todorova (Hrsg.), 2002).
Oenochoé entre 620 av JC et 600 av JC, nécropole Etrusques de Monte Abatone.
Attic Red Figure (White Ground), Lekythos, Attributed to the Pan Painter, ca 500 - 459 BC, State Hermitage Museum, St Petersburg, Russia.
Temple en forme de déesse oiseau avec collier ; au dos il y a une ouverture un trou rond (h. 40 cm).
Female figurine from Yalangach-depe (beginning of fourth millenium b.c).
Dessin de broderie à partir d'un tissu rituel (Gorodtsov 1926, p. 10, fig. 1) La déesse dans cette broderie tient deux oiseaux, et de chaque côté d'elle
il y a deux têtes cornues très stylisées et des serpents à deux têtes au-dessus d'elles. Art religieux daco-sarmate éléments de l'art populaire russe.
Decorative motif on figurines from Sitagroi III have, linear, and geometric outline of signs that belong to the Danube script.(Graphic elaboration by Merlini after Gimbutas 1982: 116, fig. 75, 76).
Inscription sur un fragment d'autel miniature de Vinča D provenant de la localité éponyme.(Élaboration graphique de Merlini d'après Winn 81 : 305, fig. 167). La longue inscription horizontale, très décorative, figure la partie inférieure de l'autel.
Déesse mère
Les Déesses-Mères étaient encore vénérées à l'époque gallo-romaine dans les contrées.
L'on peut voir à Allondaz en Savoie, en face de la porte de l'église, dans le
mur de clôture du vieux cimetière, un ex-voto dédié à ces divinités
par un employé des douanes romaines, Mithrès, esclave des fermiers de
l'impôt du XLe des Gaules et intendant de leur domaine.
En voici le texte :
MATRIS MITHRES Soc. XL. VII AD. TUR. L. XIII. P. A. VI
L'abbé Ducis l'a reconstituée comme suit :
« Matris, Mithres (servus) sociorum XL villicus ad Turnonem. Latum XIII pedibus, allum VI. »
Aux déesses Mères, Mithres, esclave de la société du quarantième, commis à Tournon.
Les cultes liés aux déesses mères et aux ancêtres ont probablement toujours eu un status particulier, ils faisaient partie de la sphère privée ou clanique. Ils sont un héritage du passé lointain et persistèrent probablement jusqu'aux débuts de l'expention du christianisme au Veme siècle.
Ne bénéficiant pas de clergé et d'organisations centralisées contraignantes, il y a eu de nombreuses adaptations personnelles mais certaines constances régionales sur des millénaires reposant sur des besoins fondamentaux de la famille et du groupe d'assurer leur descendances, leur cohésion, leur sécurité, leur réussite, leur histoire, leur après, leur possessions, leur survie, leur espoir, leur interprétation du monde vivant et mortel, de leur avenir, ...
Ils peuvent par moment déborder sur la shpère publique changeant dès lors de status.
Ces cultes privés ou claniques sont souvent proches ou inspirés des pratiques chamaniques : survie de l'âme, cycle de vie, respect des ancètres, intérogation et optention de protections des ancêtres, ... Ils influencent fortement la vie du groupe.
Le mystère de la chambre funéraire de Montelirio est-il résolu ?.
Ce parement autrefois traversé par un mors de cheval représente un personnage cornu domptant des créatures légendaires. Il a été fabriqué vers l’an 700 av. J.-C. bronzes du Lorestan, Iran.R Photo : ARTOKOLORO.
culture Cucuteni-Tripolye 5500-2750 BC.
Sceau en onyx représentant la déesse sous sa forme Maitresse des Animaux, entouré de griffons. Cnossos, Période néopalatiale (-1450).
Représentation en buste de la Déesse-Mère sur le pourtour du chaudron de Gundestrüp 1er siècle av. JC.
Archaic Greek funerary statue by the artist Aristion of Paros, created between 550 and 540 BCE, city of Myrrhinous (modern Merenta) in Attica.
Coquille symbole de Vénus
Cette peinture, du IIIe siècle ap. J-C, est inspirée de la fameuse peinture d’Apelle dans l’île de Cos dont il ne reste aujourd’hui que la description. Cette fresque est située dans la maison de Venus à la Coquille à Pompéi.
La naissance d'Aphrodite. Bas-relief antique (Galerie Borghèse, Rome).
Aryballe à figures rouges corinthienne classique - © A. Zucker - ALBUM MYTHIQUE DES COQUILLAGES VOYAGEURS, De l’écume au labyrinthe - Arnaud Zucker.
Vénus fille de Gaia hérite comme d'autres des symboles des déesses mères ancestrales revues par le Panthéon antique où les mâles domines.
Dans l’Antiquité, la coquille est symbole d’Amour (coquille de Vénus).
Le symbole de la coquille est utilisés dès la Préhistoire coquille dans les tombes (symbole de renaissance, de résurrection), talisman, coquille évoquant les eaux
où elle se forme, symbole de la fécondité, symbole d'amour, elle protège des mauvais sorts et des maladies.
Ce symbole sera repris avec de nouvelles significations au IX ème siècle et un peu avant par le christianisme, pour les pélerins et dans la légende de Saint Jacques de compostel. Mais quel était ce symbole avant celà ?
Matres assisent dans une coquille, Gallo-Romaine.
Aphrodite anadyomene, Tanagra début IIIème siècle BC, Musée d'Athène.
Sous le signe du ankh
La croix ansée (anhk) signifie la vie la résurrection pour les égyptiens. D’Alviella soutient qu’elle est devenue à partir de l'Égypte, un signe magique ou propitiatoire qui s'est étendu aux Phéniciens et au monde Sémitique entier.
Un autre signe égyptien fait référence à la vie et à la résurection, c'est le noeud d'Isis, et si on le regarde attentivement, comme pour l'Ankh, ils font tout deux penser fortement à des formes antropomorphes, que l'on retrouvera aussi dans les signes de Tanit. Il existe une représentation du signe Ankh avec des bras dans un temple de Thèbe.
Noeud d'Isis.
Symbole égyptien sur des monuments étrusques et asiatiques.
Sous le signe d'Isis, de Tanit et du taw
Cette symbolique se répandra de l'Iran jusqu’en Sardaigne, le long des rivages de l'Afrique, en Phrygie, en Palestine et en Mésopotamie. Peut-être en s'appuyant sur des croyances ancestrales, le signe en T se retrouve par exemple peut-être dans la forme des stèles du temple de GÖBEKLI TEPE..
Cette symbolique se répandra de l'Iran jusqu’en Sardaigne, le long des rivages de l'Afrique, en Phrygie, en Palestine et en Mésopotamie. Peut-être en s'appuyant sur des croyances ancestrales, le signe en T se retrouve par exemple peut-être dans la forme des stèles du temple de GÖBEKLI TEPE..
La lettre tau tire son origine de la l'alphabet phénicien. Celle-ci provient probabement de l'alphabet protosinaïtique, une écriture utilisée dans le Sinaï il y a plus de 3 500 ans, elle-même probablement dérivée de certains hiéroglyphes égyptiens
La lettre correspondante de l'alphabet sudarabique est ta, ta, correspondant à la lettre ተ, tä, de l'alphasyllabaire guèze. Dans les alphabets sémitiques, la lettre phénicienne se retrouve dans le grec, l'étrusque, et le berbère ⵜ.
Dans les alphabets grecs archaïques, la graphie du tau reprend celle de l'alphabet phénicien et, de façon générale, diffère peu suivant les dialectes grecs, les variations portant sur la position et l'inclinaison de la barre horizontale ; on trouve ainsi
,
,
et
.
Les Grecs l’ont rendu anthropomorphique afin de reproduire les caractéristiques de leur déesse de la vie - Aphrodite, Harmonie, Artémis d'Ephèse etc. (voir fig. 13) (D’Alviella, op. cit., p. 326)." Cela n'est pas sans rappeller le culte de la deesse mère.
La croix Tau était le symbole de la déesse carthaginoise Tanit, du dieu romain Mithra et du dieu grec Attis. Dans la mythologie nordique, le marteau de Thor est vu aussi comme une croix de Tau.
Le taureau en tant que signe astrologique du Taureau tire son nom du Tau et du Ru.
La Croix Tau a été évoquée dans le livre de l'Ancien Testament d'Ézéchiel.
Taw est la dernière lettre de l'alphabet hébreu. Taw est un signe, une lettre à l'origine de nombreux autres mots liés au Cantique des Cantiques qui ont des sens partituliers.
Ézéchiel a vécu au début du VIe siècle av. J.-C., à l'époque où le royaume de Juda fut conquis par Nabuchodonosor II, roi de Babylone (597 av. J.-C.).
Ézéchiel (9, 4-6) : « Le Seigneur lui dit : “Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem ; fais un taw sur le front des hommes qui gémissent et se plaignent à cause de toutes les abominations qui se commettent au milieu d’elle.” Puis je l’entendis dire aux autres : “Passez dans la ville à sa suite et frappez ; que vos yeux soient sans compassion et vous sans pitié. Vieillards, jeunes hommes et jeunes filles, enfants et femmes, vous les tuerez jusqu’à l’extermination ; mais ne vous approchez de personne qui portera le taw.”»
Le christianisme en se dévelopant a repris certains symboles croyances et pratiques antérieurs à son compte en les adaptants à ses préceptes.
Le symbolisme du Tau a été utilisé comme la première croix des disciples du Christ, certains chrétiens d'Orient ont adopté le Tau comme symbole de leur croyance religieuse.
On retouve ces mélanges symboliques dans presque toutes les premières croix, croix celtique faisant référence à la croix solaire, ... Des signes qui faisaient sens pour ces populations et facilitaient l'adoption et la compréhension des nouvelles croyances.
Dans le même temps des oppositions et résistances aux nouveaux cultes, des persistances parallèles, des sorcelleries, des cosmologies, ont maintenus en les adaptants d'anciens cultes et symboles.
Un ancienne prophetie égyptienne aurait annoncé que les cultes egyptiens s'effaceraient le jour ou serait subitement exalté le signe hieroglyphique designant la «Vie» et ce signe est ainsi repris comme prèmières croix coptes.
Stèle portant le « signe de Tanit », provenant du tophet de Nora en Sardaigne, musée archéologique de Nora.
.
Le signe de Tanit pourrait être un symbole représentant une personne priant, les bras levés vers le ciel.
Musée Guimet. Cl. Giraudon,
Peinture chrétienne du IIIeme siècle.
Croix Ansée copte IVe-Ve siècle.
Metropolitan Museum, New-York : stèle byzantine d'Egypte VI°-IX° siècle, avec inscription copte.
A noter en bas: l'Ankh, symbole antique de la vie éternelle ou le signe de Tanit de la vie et de la naissance.
Signe chrétien dans un signe egyptien
sur un tombeau copte.
Tanat panê Ba‛al VI.
Tanit.
Ankh, pseudo-’ankh e segni a Tanit.
Stele votive di età punica, Carton (1897).
Stele da Thibaris (da Ben Younès 1990, p. 41, pl. II).
Encensoir sudarabique avec dédicace à Ahtar. Datation attribuée au premier siècle AVANT JC.